Pour cette seconde édition de la Gravelman Occitanie à Gruissan, un sociétaire du club était présent, Éric LC pour sa première épreuve de gravel. Cette épreuve n’est pas vraiment une course, plus une aventure d’après son créateur. 5 traces sont proposées : 600, 350, 200, 120 et 60 km.
Éric LC s’est inscrit sur le parcours de 120km qui en fait 140; au vu de la météo; ce n’est peut-être pas la plus mauvaise idée. En effet, le ciel est menaçant et un vent de sud-est souffle très fort à près de 70km/h.
Le départ est programmé à 8h pour les 75 inscrits sur cette trace. Éric s’élance dans les premiers pour éviter la cohue sur les barrières de la piste cyclable empruntée au départ. Rapidement, il est seul en tête mais se fait rattraper par un groupe de 6, dont l’organisateur qui a décidé de se joindre à la fête.
Rapidement, le groupe prend le large; au premier secteur gravel, un des concurrents lâche et ne reviendra plus. Éric est bien placé et le groupe avance rapidement sur cette première partie gravel. La première côte est montée rapidement. Steven Le Hyaric est le seul capable de monter toutes les difficultés sur le vélo. Les autres mettent pied à terre sur un passage particulièrement compliqué. Dans la descente qui suit cette bosse, les piètres talents de pilote d’Éric sont immédiatement à l’épreuve et il perd le contact avec les premiers qui ne sont plus que 4.
Sur les portions suivantes, les secteurs gravel sont moins techniques et Éric très peu de temps sur les premiers. Au bout de 35 km, la pluie fait son apparition. Au 40e kilomètre, une longue portion de bitume vent dans le dos se présente. Éric en profite pour rattraper un des 3 premiers. Sur une portion au dénivelé légèrement positif, il prend le large et aperçoit au bout d’une longue ligne droite les 2 premiers. Mais ils sont trop loin pour les revoir.
Éric s’arrête dans un village pour remplir un bidon car, sur le retour, il y a peu de possibilités de remplir les bidons. Le 4e en profite pour repasser en troisième position.
A Lagrasse, un ravitaillement surprise permet aux concurrents de trouver un peu de réconfort surtout que la pluie s’est calmée. Là, Éric apprend qu’il est quatrième et les premiers pas si loin.
Les portions gravel du retour sont particulièrement techniques. Il faut mettre pied à terre plus souvent que prévu. Dans une descente très caillouteuse, un des premiers est stoppé par une déchirure. Éric le trouve en pleine réparation mais, n’ayant pas besoin d’aide, il repart tranquillement sachant que ce concurrent va rapidement le rattraper.
Effectivement, quelques kilomètres plus loin, ils roulent ensemble, ou pas en fonction des regonflages, des descentes techniques ou des bouts de droits face au vent où, là, Éric reprend rapidement du temps sur son compagnon de route. Mais, lors d’un passage le long de l’autoroute, il faut une nouvelle fois changer de chambre à air, et
Pour cette seconde édition de la Gravelman Occitanie à Gruissan, un sociétaire du club était présent, Éric LC pour sa première épreuve de gravel. Cette épreuve n’est pas vraiment une course, plus une aventure d’après son créateur. 5 traces sont proposées : 600, 350, 200, 120 et 60 km.
Éric LC s’est inscrit sur le parcours de 120km qui en fait 140; au vu de la météo; ce n’est peut-être pas la plus mauvaise idée. En effet, le ciel est menaçant et un vent de sud-est souffle très fort à près de 70km/h.
Le départ est programmé à 8h pour les 75 inscrits sur cette trace. Éric s’élance dans les premiers pour éviter la cohue sur les barrières de la piste cyclable empruntée au départ. Rapidement, il est seul en tête mais se fait rattraper par un groupe de 6, dont l’organisateur qui a décidé de se joindre à la fête.
Rapidement, le groupe prend le large; au premier secteur gravel, un des concurrents lâche et ne reviendra plus. Éric est bien placé et le groupe avance rapidement sur cette première partie gravel. La première côte est montée rapidement. Steven Le Hyaric est le seul capable de monter toutes les difficultés sur le vélo. Les autres mettent pied à terre sur un passage particulièrement compliqué. Dans la descente qui suit cette bosse, les piètres talents de pilote d’Éric sont immédiatement à l’épreuve et il perd le contact avec les premiers qui ne sont plus que 4.
Sur les portions suivantes, les secteurs gravel sont moins techniques et Éric très peu de temps sur les premiers. Au bout de 35 km, la pluie fait son apparition. Au 40e kilomètre, une longue portion de bitume vent dans le dos se présente. Éric en profite pour rattraper un des 3 premiers. Sur une portion au dénivelé légèrement positif, il prend le large et aperçoit au bout d’une longue ligne droite les 2 premiers. Mais ils sont trop loin pour les revoir.
Éric s’arrête dans un village pour remplir un bidon car, sur le retour, il y a peu de possibilités de remplir les bidons. Le 4e en profite pour repasser en troisième position.
A Lagrasse, un ravitaillement surprise permet aux concurrents de trouver un peu de réconfort surtout que la pluie s’est calmée. Là, Éric apprend qu’il est quatrième et les premiers pas si loin.
Les portions gravel du retour sont particulièrement techniques. Il faut mettre pied à terre plus souvent que prévu. Dans une descente très caillouteuse, un des premiers est stoppé par une déchirure. Éric le trouve en pleine réparation mais, n’ayant pas besoin d’aide, il repart tranquillement sachant que ce concurrent va rapidement le rattraper.
Effectivement, quelques kilomètres plus loin, ils roulent ensemble, ou pas en fonction des regonflages, des descentes techniques ou des bouts de droits face au vent où, là, Éric reprend rapidement du temps sur son compagnon de route. Mais, lors d’un passage le long de l’autoroute, il faut une nouvelle fois changer de chambre à air, et Éric, glacé par le vent, continue sa route en attendant un prochain retour. Las, la pompe a lâché et le quatrième ne reviendra jamais.
La fin du parcours est usante face au vent mais Éric avance bien maintenant que les portions sont moins techniques.
Pour cette seconde édition de la Gravelman Occitanie à Gruissan, un sociétaire du club était présent, Éric LC pour sa première épreuve de gravel. Cette épreuve n’est pas vraiment une course, plus une aventure d’après son créateur. 5 traces sont proposées : 600, 350, 200, 120 et 60 km.
Éric LC s’est inscrit sur le parcours de 120km qui en fait 140; au vu de la météo; ce n’est peut-être pas la plus mauvaise idée. En effet, le ciel est menaçant et un vent de sud-est souffle très fort à près de 70km/h.
Le départ est programmé à 8h pour les 75 inscrits sur cette trace. Éric s’élance dans les premiers pour éviter la cohue sur les barrières de la piste cyclable empruntée au départ. Rapidement, il est seul en tête mais se fait rattraper par un groupe de 6, dont l’organisateur qui a décidé de se joindre à la fête.
Rapidement, le groupe prend le large; au premier secteur gravel, un des concurrents lâche et ne reviendra plus. Éric est bien placé et le groupe avance rapidement sur cette première partie gravel. La première côte est montée rapidement. Steven Le Hyaric est le seul capable de monter toutes les difficultés sur le vélo. Les autres mettent pied à terre sur un passage particulièrement compliqué. Dans la descente qui suit cette bosse, les piètres talents de pilote d’Éric sont immédiatement à l’épreuve et il perd le contact avec les premiers qui ne sont plus que 4.
Sur les portions suivantes, les secteurs gravel sont moins techniques et Éric très peu de temps sur les premiers. Au bout de 35 km, la pluie fait son apparition. Au 40e kilomètre, une longue portion de bitume vent dans le dos se présente. Éric en profite pour rattraper un des 3 premiers. Sur une portion au dénivelé légèrement positif, il prend le large et aperçoit au bout d’une longue ligne droite les 2 premiers. Mais ils sont trop loin pour les revoir.
Éric s’arrête dans un village pour remplir un bidon car, sur le retour, il y a peu de possibilités de remplir les bidons. Le 4e en profite pour repasser en troisième position.
À Lagrasse, un ravitaillement surprise permet aux concurrents de trouver un peu de réconfort surtout que la pluie s’est calmée. Là, Éric apprend qu’il est quatrième et les premiers pas si loin.
Les portions gravel du retour sont particulièrement techniques. Il faut mettre pied à terre plus souvent que prévu. Dans une descente très caillouteuse, un des premiers est stoppé par une déchirure. Éric le trouve en pleine réparation mais, n’ayant pas besoin d’aide, il repart tranquillement sachant que ce concurrent va rapidement le rattraper.
Effectivement, quelques kilomètres plus loin, ils roulent ensemble, ou pas en fonction des regonflages, des descentes techniques ou des bouts de droits face au vent où, là, Éric reprend rapidement du temps sur son compagnon de route. Mais, lors d’un passage le long de l’autoroute, il faut une nouvelle fois changer de chambre à air, et Éric, glacé par le vent, continue sa route en attendant un prochain retour. Las, la pompe a lâché et le quatrième ne reviendra jamais.
La fin du parcours est usante face au vent mais Éric avance bien maintenant que les portions sont moins techniques.
Eric finit à moins de deux minutes du second.
Une première expérience gravel difficile mais vraiment très belle, dans des paysages splendides.
ric fini à moins de deux minutes du second.
Une première expérience gravel difficile mais vraiment très belle, dans des paysages splendides.